Oney et Harris Interactive révèlent les résultats d’un nouveau sondage client réalisé à l’occasion de la rentrée scolaire 2021. Les Français anticipent une augmentation des prix dans tous les domaines, notamment lors de la rentrée scolaire 2021. Plus que jamais, mieux gérer son budget devient une priorité et le paiement fractionné se révèle être une solution toujours plus plébiscitée et attendue pour tout type d’achat et de canaux de vente.
Pourquoi vos clientsattendent le paiementfractionné pour larentrée scolaire etle 2nd semestre
Rentrée scolaire 2021 : 1 Français sur 2 s’attend à dépenser plus qu’en 2020.
Les parents appréhendent l’impact financier de la rentrée scolaire 2021.
Par rapport à la rentrée 2020, 1 parent sur 2 s’attend à devoir débourser davantage. 5 postes de dépenses sont particulièrement visés par ces augmentations de dépenses :
- Frais d’inscription : 51%
- Activités sportives et culturelles : 47%
- Fournitures scolaires : 45%
- Restauration : 45%
- Vêtements : 44%
A peine 5% des parents s’attendent à débourser moins en 2021 qu’en 2020.
Les parents estiment notamment que la situation sanitaire qui perturbe le modèle organisationnel des établissements scolaires a des répercussions sur les frais d’inscription et les activités extrascolaires.
Ils prévoient qu’elle leur coûtera en moyenne 290€ par enfant, de 224€ à 363€ selon le niveau de scolarisation : 224€ en maternelle, 244€ au primaire, 316€ au collège et 363€ au lycée.
2nd semestre 2021 : une très nette majorité de Français s’attend à une augmentation des prix dans tous les domaines.
D’ici 12 mois, si l’anticipation de hausses des prix est perceptible dans tous les domaines, elle est particulièrement partagée par les Français pour le secteur de l’énergie : 84% prévoient une augmentation du prix des carburants et 83% de l’énergie domestique. Ce sont même près d’un Français sur deux qui estime que ces prix vont « beaucoup » augmenter.
TOP 10 des secteurs où les Français s’attendent à une augmentation des prix :
- Carburant – 84%
- Energie domestique – 83%
- Assurances – 80%
- Santé, mutuelles – 80%
- Alimentation – 77%
- Immobilier – 74%
- Restauration, hôtellerie – 70%
- Véhicules – 69%
- Frais bancaires – 69%
- Impôts – 68%
Les biens de consommation courante (hors alimentation) sont jugés comme pouvant augmenter de manière plus mesurée.
S’il y a un domaine où une partie des Français, même faible (10%), pronostique une baisse des prix, c’est le voyage et le tourisme. Les consommateurs présument sans doute que le secteur, particulièrement affecté par la crise sanitaire, n’aura pas d’autre choix que de baisser ses prix pour regagner en attractivité.
Ces réponses témoignent d’un rapport anxieux à l’avenir, dans un contexte de crise sanitaire persistante.
Les Français pensent à prendre soin d’eux au 2nd semestre
Les résultats du dernier sondage Harris Interactive pour Oney montrent les signes d’une reprise de la consommation au 2nd semestre : les consommateurs penchent plutôt vers une augmentation de leurs dépenses (entre 17% et 26% selon les secteurs) que vers une réduction (entre 4% et 14% selon les secteurs).
Après un premier semestre où les Français manifestaient des intentions d’achat plutôt dans le tourisme, le voyage, les loisirs et la culture – signe d’une volonté de sortir des périodes de confinement – ils privilégient à présent l’habillement, le bien-être, l’hygiène et la cosmétique.
Top 5 des secteurs où les Français souhaitent orienter leur budget à la consommation :
- Alimentaire – 87%
- Bien-être, hygiène et cosmétique – 76%
- Vêtements, chaussures et accessoires – 64%
- Loisirs et culture – 60%
- Bricolage et jardinage – 53%
Le bricolage et le jardinage restent au cœur des intentions d’achat depuis le début de la crise sanitaire. Les périodes de confinement ont permis aux Français de réinvestir leur habitat et ils semblent compter poursuivre cette dynamique dans les mois qui viennent.
Mieux gérer son budget, une attente grandissante des Français.
Les Français expriment un intérêt à mieux pouvoir gérer leur budget et attendent des fonctionnalités pour les y aider, signe probable d’une préoccupation plus forte pour leur pouvoir d’achat et d’une volonté de reprendre le pouvoir sur leurs dépenses.
Parmi les solutions les plus plébiscitées :
- Accéder à des comparateurs de prix – 24%
- Connaître en temps réel son « reste à vivre » – 20%
- Visualiser ses dépenses selon le type d’achats – 19%
- Pouvoir payer en plusieurs fois tous ses achats, n’importe où – 17%
- Pouvoir différer certaines dépenses au mois suivant – 14%
Pour répondre à cette attente, Oney a lancé en juin Oney+, un compte, une carte, une app qui propose la plupart de ces fonctionnalités et permet ainsi à chacun de reprendre le pouvoir sur ses dépenses.
La solution la moins séduisante est sans doute l’accès à des formations ou tutoriels afin de mieux gérer leur budget (9%) : les consommateurs priorisent des outils directement utilisables dans leur quotidien, plutôt que de l’accès à de l’information.
Payer en plusieurs fois : le BNPL plébiscité pour mieux maîtriser ses dépenses
Parmi les solutions pour financer ses achats et alléger son budget mensuel, le paiement en plusieurs fois (solutions BNPL – Buy Now Pay Later) reste le service le plus attendu dans les 6 prochains mois.
Le paiement différé – Paylater – ou encore les fractionnements plus importants (jusqu’à 12 fois) deviennent des attentes de plus en plus fortes.
- Paiement en 3 ou 4 fois par carte bancaire : 30%
- Paiement différé par carte bancaire : 24%
- Crédit à la consommation : 22%
- Crédit renouvelable : 21%
- Paiement en 5 à 12 fois par carte bancaire : 20%
1 utilisateur sur 2 (46%) souhaite même plus recourir au paiement en 3 ou 4 fois qu’en début d’année.
Informatique, high tech et électroménager ont été les achats pour lesquels le paiement fractionné a été le plus utilisé depuis le début d’année. Viennent ensuite les dépenses de tourisme et voyages ; montres et bijoux ; décoration et meubles ; puis celles de santé.
Méthodologie : Enquête Harris Interactive pour Oney, réalisée en ligne, du 10 au 12 août 2021, auprès d’un échantillon de 1 097 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. Méthode des quotas et redressement appliqués aux variables suivantes : sexe, âge, catégorie socioprofessionnelle et région d’habitation de l’interviewé(e).