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Le Baromètre du Mieux Consommer 2025 : enjeuxet tendances de la rénovation énergétique

Alors que la rénovation énergétique s’impose comme une priorité écologique et patrimoniale, la mise en œuvre concrète des projets reste freinée. Coût élevé, complexité perçue, inquiétudes face à la fraude… Le Baromètre du Mieux Consommer 2025 (CSA x Oney) dévoile une dynamique en perte de vitesse. Dans ce contexte, les enseignes partenaires ont un rôle clé à jouer, notamment via des solutions de financement adaptées ! Analyse des enjeux et leviers d’action à mettre en place.

Une envie de mieux faire, mais un passage à l’acte timide

Dans les faits, la rénovation énergétique est perçue comme importante voire essentielle pour une majorité de propriétaires, un sentiment encore plus important chez les plus jeunes… Cependant, au moment d’engager les travaux, les intentions se heurtent à une prudence de plus en plus assumée. Les chiffres du baromètre parlent d’eux-mêmes :

  • La sensibilité écologique reste forte, mais la dynamique de passage à l’action ralentit (sujet majeur pour 84% des propriétaires avec un ralentissement de 4 points par rapport à 2024). 
  • Beaucoup expriment une volonté de rénover, mais repoussent à plus tard, par crainte de l’arnaque ou faute d’un accompagnement lisible.

C’est le syndrome “du flou”. Il en ressort que l’on sait que c’est important, mais on ne sait pas par où commencer, ni avec qui… Entre les aides à décrypter, les labels à vérifier et les artisans à choisir, le frein devient alors aussi mental que financier… 

Réconcilier pouvoir d’achat et pouvoir d’agir !

Le marché de la rénovation énergétique ne se joue plus uniquement sur le plan technique ou environnemental. Il devient un levier de transformation commerciale et sociétale. Les enseignes de distribution, les artisans, mais aussi les acteurs du financement comme Oney ont une opportunité d’agir concrètement pour accélérer les projets en rassurant les consommateurs.

Les raisons sont claires : coût élevé, complexité administrative, mais aussi peur de la fraude (mentionnée par 85 % des répondants). En parallèle, les budgets travaux se restreignent : 1 propriétaire sur 4 ne prévoit pas de dépasser 1 500 € et 52 % peinent à trouver les aides publiques. Cette perte de vitesse n’est pas sans impact pour les enseignes du secteur équipement, maison ou bricolage, qui constatent un allongement des cycles d’achat et un recul des projets majeurs.

Comment réagir ? En proposant des offres de financement claires, lisibles, accessibles, et alignées sur la réalité terrain des ménages.

Pour ces enseignes, proposer des parcours de financement contextualisés devient une opportunité concrète pour réduire la friction à l’achat, raccourcir le temps de décision et réconcilier consommation utile et budget maîtrisé.

Un enjeu business majeur pour les enseignes partenaires

La bonne nouvelle ? Les enseignes capables d’apporter des solutions concrètes de financement apparaissent comme de véritables catalyseurs d’action. L’étude révèle que 73 % des propriétaires seraient plus enclins à réaliser des travaux si une solution de financement leur était proposée.

Par ailleurs, ce n’est pas qu’une parole en l’air : 76 % se disent plus susceptibles de choisir une enseigne qui met à disposition ce type de service. Dans un contexte de rétractation conso, le financement fléché rénovation devient un outil stratégique. Il ne s’agit plus simplement de vendre des matériaux ou des équipements, mais de repositionner l’offre autour d’un parcours rassurant, lisible et activable rapidement…

Des dispositifs qui répondent aux attentes terrain

Chez Oney, nous le constatons : les solutions de financement pensées pour le secteur maison et travaux rencontrent un fort écho, en particulier quand elles s’appuient sur des formats souples et compréhensibles (paiement en plusieurs fois, crédit travaux affecté ou prêt personnel travaux).

Pour les moins de 35 ans, les chiffres sont parlants : 59 % d’entre eux envisagent un éco-prêt à taux zéro et 41 % un prêt bancaire classique. Une génération agile, mais exigeante, qui attend des outils rapides, digitaux et contextualisés. Dans ce cadre, les parcours 100 % en ligne, la transparence sur les coûts et la modularité des échéances sont des facteurs différenciants décisifs pour les enseignes.

Là où certains parlent encore de transformation à venir, Oney agit déjà :

  • 100 M€ investis en 2024 dans des projets durables : rénovation énergétique, économie circulaire, mobilité douce…
  • Une offre co-construite avec Leroy Merlin et la BPCE, qui couple crédit affecté et éco-PTZ pour plus de lisibilité.
  • Un accompagnement digitalisé, de la simulation jusqu’au suivi des échéances, sans jargon ni paperasse inutiles.

Et demain ? Créer l’alignement entre enjeux conso et stratégie retail

Ainsi, si la volonté de rénover reste bien présente, elle est freinée par une zone grise entre l’envie et la capacité d’agir… Les enseignes partenaires ont ici un rôle clé à jouer : en apportant lisibilité, sécurisation du financement et pédagogie autour de l’impact environnemental ou économique des travaux. Elles deviennent actrices de la transformation. Enfin, le rôle des temps forts calendaires comme le Black Friday, la rentrée ou le changement de saison doivent être perçus comme leviers d’activation.

Ils représentent des fenêtres idéales pour proposer des parcours d’achat facilités incluant financement, conseil, et projection sereine pour les clients. C’est une information vérifiée, la rénovation énergétique ne peut plus être pensée sans financement.

Ainsi, c’est à la croisée des enjeux RSE, business et pouvoir d’achat que les enseignes ont une carte à jouer. Avec des partenaires comme Oney, il devient possible de proposer une offre claire, engagée et fluide, au service d’un projet durable… Pour les consommateurs comme pour le marché !